Afin de prévenir les hommes contre touts risques de dangers pour les populations, les scientifiques ont mis en place des moyens qui permettent de surveiller des volcans. Les populations environnementales des volcans peuvent courir des risques énormes et afin de faire face à ces dangers, les hommes, grâce à la science ont réussi à développer des moyens de surveillance volcanologique. Parmi eux, nous pouvons voir qu’il existe des moyens de préventions plus efficaces que leurs homologues.
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La surveillance des volcans
Parmi les outils de surveillance ont peut voir apparaître la surveillance sismologique. C’est une des techniques les plus utiles car lors d’une remontée de lave, celle-ci crée des secousses plus ou moins importantes lors de son passage. En effet, comme le magma s’accumule dans la chambre magmatique, la pression à l’intérieure de celle-ci augmente largement ce qui peut apporter certaines secousses sismiques. Mais, on peut aussi voir que lors d’une remontée de lave, le magma frôle les parois terrestres et cela crée de véritable petit séisme de faible amplitude généralement. Ainsi, grâce a un sismographe, on peut détecter l’arrivée d’une éruption et de d’évacuer les populations voisines car cette outils très ingénieux permet, comme le schéma juste en dessous le montre, enregistrer ses ondes sismique. En faite, les scientifiques implantent sur toutes les parties de la terre, des sismographes qui vont être utilisé pour localiser l’hypocentre et l’épicentre pour en suite conclure en déterminant le nombre de temps qu’il reste avant l’éruption.
Petite anecdote : Une expérience fut testée sur le Vésuve, elle consistait à faire exploser des charges afin de recréer les ondes sismiques pour savoir comment réagissent les roches composant le Vésuve de manière à comparer avec une vrai éruption.
Déformation du sol
La surveillance de la déformation du sol est aussi un autre facteur d’éruption car une reprise d’activité volcanique se traduit par une déformation des pentes du Volcan. Cela est du à l’augmentation de la pression dans la chambre magmatique qui dilate le volcan et entrain un changement de forme de ses parois. Les principaux outils utilisés sont un Distance mètre, un théodolite, un GPS, un extanciomètre ou un inclinomètre dont ce dernier mesure l’inclinaison de la pente en microradian et permet de localiser la futur et probable éruption.
En plus de la surveillance de la déformation s’ajoute la surveillance électro-optique qui utilise un distanciomètre laser. Celui ci est programmé lors que le volcan est inactif. Puis, lors qu’une éruption arrive, le sol se déforme (voir schéma si dessous) et des changements de distance ou de lieu vont se produire entre le capteur et le laser. Ainsi, on va pouvoir enregistrer une déformation du volcan qui expliquera peut être l’apparition d’une future explosion.
Déformation des failles
Une autre mesure de déformation correspond à la déformation apparente des failles sur les parois du volcan. C’est pour cela, que les hommes ont choisi de placer des appareilles qui mesurent la déformation de ces failles car un volcan subit de forte changement comme lors des éruptions. Ainsi, les scientifiques utilisent un extensiomètre.
La surveillance par satellite paraît insignifiante mais elle est très pratique pour les hommes car les images satellitaires permettent de cartographier un volcan et lorsqu’un changement physique se fait ressentir grâce à des documents on compare la photo initial et la nouvelle photo, le satellite transfère ces donner à un ordinateur qui a le pouvoir d’alerter les alentours du volcan si un changement géographique minime se fait ressentir ,car ,ce type de satellite peut mesuré les dimensions d’un volcan au centimètre prêt. Les principaux satellites géostationnaires sont se utiliser par la météo car il peuvent détecter avec précision un changement physique d’une région. Ainsi, la France utile le satellite LANDSAT et SPOT.
La surveillance magnéto volcanique est un critère important car la terre émet des ondes magnétiques qui peuvent varier lors de la présence de minéraux ferromagnésiens. Or, la lave est fortement concentrée avec ce type de minéraux donc grâce à un magnétomètre, les scientifiques peuvent prévoir une éruption volcanique. Ainsi, au niveau des dorsales océaniques, on peut voir que le champ magnétique est différent du reste du globe. C’est ainsi que l’on n’a pue conclure que le plancher océanique est composé de volcan. De plus, le changement de température du sol bouleverse le magnétomètre. Cette instrument est d’autant plus pratique, que lorsque l’ont en installe plusieurs, on peut déterminé l’endroit précis sur le volcan ou commencera l’éruption.
L’étude et la surveillance micro-gravimètrique sont des moyens qui permettent d’étudier un mouvement de magma. En effet, le gravimètre est utilisé car il est constitué d’une masse et d’un ressort. Ainsi, lors que la lave remonte a la surface, le ressort s’agrandi. Cela est du à la différence de densité entre la lave et les roches.
Comment prévenir une éruption volcanique
Le principal moyen de prévenir d’une éruption est d’étudier les fumeroles émanent du cratère et les composants chimiques s’échappent du volcan. Ainsi, grâce à un thermocouple, les scientifiques étudient les minerais qui sortent de la lave mais aussi la composition des gaz qui s’échappent de celui-ci. En effet, les volcanologues prélèvent ces gaz car comme chacun le sait, les gaz peuvent avoir des densités différentes et les gaz les plus légers remontrent plus rapidement à la surface en passent à l’intérieure de micro fissures volcanique. Ensuite, ces gaz sont analysé dans des laboratoires, et grâce à cela on peut conclure la composition des roches sous le volcan donc on peut déterminer si notre volcan est explosif ou effusif et aussi d’estimé le temps qu’il reste avant l’éruption, car comme on peut l’imaginé, plus l’éruption est proche et plus la quantité de gaz augmente. Mais, le seul gaz que l’on à pu identifier comme le gaz indiquant l’approche d’une éruption est le radon car il surgis quelques jours avant les éruptions. On peut constater que les fumeroles qui sortent d’un volcan sont principalement de l’eau H20 , on peut voir que la quantité de gaz est plus importante lors des éruptions volcanique.
Taux d’émission de SO2 (en tonnes/jour) du Mont St. Hellens, entre 1980 et 1988.
Les hommes ont mis en place beaucoup de moyen afin de prévoir les éruptions mais ces moyens sont efficaces seulement peut de temps avant l’éruption. C’est pour cela que de nouvelles techniques restent à développer notamment l’étude de la température du sol grâce aux ondes infrarouge mis en place par la NASA.